mercredi 2 avril 2008
analyse Heughebeart
a ce soir Jeanne
jeudi 27 mars 2008
Mode Opératoire Mindomo
Amitié, Cathy
PS : En fait, je souhaite mettre mon fichier "mode opératoire" en lien sur le blog mais je n'y arrive pas. SOS ! Qui sait comment insérer un fichier Word sur le blog, je ne vois que la possibilité d'y insérer une image ou une vidéo. Merci à vous
Du coup je fais un copier coller ici en attendant mieux :
UTILISATION DE MINDOMO
Pour créer une nouvelle sous division :
Cliquer sur la case support,
Sélectionner « insert subtopic » et valider
Se positionner et double cliquer sur la case qui vient d’être ajoutée et écrire le titre que vous voulez
Sauvegarder : 2 possibilités : soit le picto « disquette » est apparent en haut vers la gauche et dans ce cas il suffit de cliquer dessus ; soit il ne l’est pas et vous le trouverez en cliquant sur le gros bouton rond dans le coin en haut à gauche.
Pensez à :
sauvegarder souvent pour ceux qui sont en lecture seule mais qui suivent ce qui se passe en attendant d'avoir la main,
ne pas rester trop longtemps pour ceux qui ont attendent pour travailler sur la carte,
rafraîchir les informations quand vous passez du mode lecture à celui de créateur (voir fenêtre en bas à droite proposée uniquement à ceux qui ont du attendre que l’utilisateur précédent termine).
Amusez-vous bien à inscrire le fruit de vos recherches.
- Jean-Marc Jancovici : le réchauffement climatique - combien d'arbres planter pour compen
- Combien de forêts planter pour compenser nos émissions de gaz carbonique ? janvier 2001 - dernière modification : août...
URL: http://www.manicore.com/documentation/serre/forets.html - size 17kb - 31 Aug 2007
Le plus gros sceptique :
à propos du plan climat énergie territorial:
la position du RAC-F sur la compensation carbone:
http://rac-f.org/imprimer.php3?id_article=1344
Rac-f.org : réponses aux septiques : http://rac-f.org/rubrique.php3?id_rubrique=109
Aller sur les sites :
· du GIEC : www.ipcc.ch
jeudi 13 mars 2008
étude comparative
http://www.ulb.ac.be/igeat/igeat/ulb_igeat/upload/cedd/Mem_AHeughebaert.pdf
étude comparative des programmes de compensation volontaire des émissions de CO2 par les passagers d’avion :fichier pdf de 98 pages
photos du team SEC
mercredi 12 mars 2008
Qu'est-ce que la tonne équivalent carbone (Tec) ?
Qu'est-ce que la tonne équivalent carbone (Tec) ?
Comme le PRG (voir le billet sur le Pouvoir de Réchauffement d'un Gaz) permet de comparer différentes production à un référentiel commun, avec pour but de les échelonner.
Cette unité représente la production de carbone émise par les différents combustibles fossiles notamment.
Par exemple :
- la combustion d'une tonne de carbone produit bien une tonne de carbone
- Le rejet d'un kilogramme de CO2 équivaut à la combustion de 273 grammes de carbone
- Le rejet d'un kilogramme de CH4 équivaut à la combustion de 6,27 kg de carbone
- Le rejet d'un kilogramme de N2O équivaut à la combustion de 81 kg de carbone
- Le rejet d'un kilogramme de CF4 équivaut à la combustion de 1 555 kg de carbone
Au dela de ces comparaisons unitaires, on peut aussi échelonner des actions courantes en additionnant les productions réalisées par les chaque étapes amenant à un produit final :
- Annuellement un Français émet 2,2 tonnes équivalent carbone
- La production de 1 tonne de volaille produit environ 1 tonne équivalent carbone
Pour un aller retour Paris Marseille :
- en train : 3,5 Kg équivalent carbone par personne
- en avion : 120 kg équivalent carbone par personne
http://blog.france2.fr/energie-pour-demain/index.php/2006/06/04/29516-quest-ce-que-la-tonne-equivalent-carbone
la compensation carbone volontaire
http://www.compensationco2.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=21238&m=3&catid=21252
Entretien paru dans Libération du 31 octobre 2006
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site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com
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NB : la version ci-dessous est celle que j'ai envoyée au quotidien. Je n'ai pas vérifié mot à mot si la version publiée est la même !
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Que pensez-vous des systèmes de compensation de CO2 ?
La compensation carbone, c'est une forme d'indulgence des temps modernes. Physiquement, aucun paiement ne va "annuler" des emissions qui auront bien eu lieu si nous prenons l'avion ou montons le thermostat. Ce que nous payons, c'est l'espoir (et non la certitude) que les émissions baisseront ailleurs, plus tard, et chez d'autres, sans savoir si cette baisse sera seulement réelle (cette remarque vaut même pour les forêts à cause du réchauffement en cours) ou égale à ce qui est émis par celui qui paie.
N'est-ce pas mieux de compenser que de ne rien faire du tout ?
La compensation ne tient que si elle s'applique à une partie infime des émissions. Imaginez que tout le monde s'y mette et compense toutes ses émissions : à la fin, on arrive à une situation absurde. Sur le papier, toutes les emissions ont disparu (chacun a compensé), mais dans la réalité, il y a toujours nos emissions de CO2, même "compensées" ! Compenser peut donc être pire que de ne rien faire, parce que cela nous éloigne un peu plus des baisses réelles auxquelles nous ne pourrons pas couper. Plus nous mettons le changement climatique sous le tapis, parce que changer nos comportements est trop dur, et plus vite il nous sautera violemment à la figure.
Que préconisez-vous ?
La meilleure manière de réduire, c'est encore de réduire ! Ne pas prendre l'avion ou ne pas allumer sa chaudière se traduit directement en une absence d'émissions : les économies, immédiates et visibles, garantissent mieux le résultat que la compensation. En outre les économies ne supposent pas de passer le bébé à quelqu'un d'autre, ce qui est le but même de la compensation. Combien de "compensateurs" sont par ailleurs opposés aux "droit de polluer", pourtant bien plus contraignants, puisque les emissions permises sont plafonnées à un niveau fixé d'avance ? Les personnes qui compensent souhaitent souvent agir sans rien changer, ce qui n'est pas très éloigné des declarations d'un certain Georges Bush. Souvenons nous que ce dernier a affirmé que "le mode de vie des Américains n'est pas négociable". Là, c'est un peu la même chose. Les gens se disent: "je veux continuer à partir en low-cost en Europe ou ailleurs... Et comme je paie, je suis absous, sans m'être privé de mon petit voyage". Quelque part, ceux qui défendent la compensation s'adressent à des gens qui pensent qu'ils ne peuvent rien changer à leurs habitudes. Or, face au changement climatique, tout le monde peut, et surtout, va devoir changer ses habitudes. On a tous tendance à laisser traîner les choses jusqu'au dernier moment. Le prix à payer n'en sera que plus élevé. C'est un peu comme quand vous avez une carie, vous retardez le moment d'aller chez le dentiste. Voilà pourquoi les dentistes font des affaires en or en faisant de gros travaux sur votre dentition alors qu'un coup de fraise aurait suffi si nous étions prévoyants !
Alors... que fait-on?
Le mieux, c'est de mettre en place une taxe progressive qui, encore une fois, ne fait qu'anticiper quelque chose de malheureusement ineluctable : le fait que quelqu'un va bien devoir passer à la caisse pour payer les dommages climatiques et la rarefaction des énergies fossiles. Si un vol Paris-New York est taxé à 500 euros (ce qui correspond à un alignement de la fiscalité du kérosène sur celle de l'essence), non seulement cela a un côté dissuasif, mais en plus, à ce niveau de prix, il y aurait de vraies possibilités de réduire les émissions "ailleurs", y compris chez nous. Sur les sites type Action Carbone, compenser un Paris-New York vous coûte 20 euros, soit 8% du billet.
séquestration du carbone et bio-fonctionnement des sols
La vapeur d'eau est un gaz à effet de serre ? oui mais puisque son origine est naturel il ne fait pas partie de la liste des GES du protocole de Kyoto.
http://www.mpl.ird.fr/SeqBio/Pages/presentation.html
La suite aussi est intéréssante
Pauline
Projet CARBOFOR : Séquestration de carbone dans les grands écosystèmes forestiers en France. Quantification, spatialisation et impacts de différents s
pour vous donner envie d'aller voir dixit notre animatrice!!!!
Coordinateur :
- Denis Lousteau, INRA - Unité de Recherches Forestières, Domaine de l’Herm, Tel : 0557979037 - Fax : 0556680546 - e-mail : denis.loustau@pierroton.inra.fr
Organismes partenaires :
- IPSL - LSCE
- CIRAD - AMAP
- CIRAD - Forêts
- CNRS - CEFE
- CNRS - ISTO
- IFN Cellule Evaluation de la Ressource -
- INRA - Centre d’Orléans
- INRA - Centre de Nancy
- INRA - Centre de Bordeaux
- INRA - ENGREF Laboratoire d’étude des Ressources Forêt-Bo
- METEO-France - CNRM
- ONF - Départements Recherche et Développement, et Sylvic
- Université Paris Sud - LEV
- METEO-France - GMGEC
- METEO-France - EAC
Financement : 416 999.99 € TTC
Résumé :
Le projet CARBOFOR quantifiera les impacts d’un changement climatique sur le bilan et le stockage de carbone , la production forestière, l’hydrologie forestière, la vulnérabilité aux stress abiotiques et aux pathogènes fongiques des grands écosystèmes forestiers nationaux, aux échelles peuplements , région et territoire national. L’approche suivie consiste à initialiser avec les bases de données nationales des peuplements forestiers et sols des modèles de fonctionnement primaire d’écosystèmes pour un scénario décrivant les variations locales (50 x 50 km) du changement climatique sur le territoire national. L’impact des déterminants physiques, biologiques et anthropiques du cycle du carbone des grands écosystèmes forestiers français sera établi à plusieurs niveaux : parcelle, ensemble de parcelles indépendantes (chronoséquences), région, territoire national. Au niveau local, les modèles utilisés seront calibrés et évalués à partir des données issues d’un réseau de sites-ateliers représentant les grands écosystèmes forestiers : feuillus tempérés atrlantique, feuillus tempérés continentaux, pinède atlantique, forêt méditerranéenne, plantation industrielle tropicale. Aux échelles régionales et nationales, les prédictions des modèles seront intégrées à partir des données d’inventaires forestiers, sols et scénarios climatiques. Ces prédictions seront comparées à ce niveau avec les valeurs de variations de stocks calculées à partir des données d’inventaire. La vulnérabilité aux stress abiotiques et à certains agents pathogènes sera appréciée en terme d’aire de distribution, fréquence et sévérité des épisodes de stress, risques de dépérissement et incendie, susceptibilité à certains pathogènes dont l’épidémiologie est suffisamment documentée. Ces prédictions seront régionalisées. Les scénarios de gestion, se référant à des objectifs de production de séquestration ou d’adaptation, seront présentés. Leurs impacts sur le cycle du carbone mais aussi en terme socio-économique seront établis. L’analyse économique, sociale et environnementale de ces scénarios de gestion permettra d’en évaluer l’acceptabilité à travers divers critères dont en premier lieu, leur durabilité. Les résultats attendus de ce projet sont d’ordre méthodologique, scientifique et applicatif. L’incertitude des prédictions inhérentes à cette approche sera analysée, ce qui permettra identifier les lacunes de connaissances et d’initier de futures recherches en terme d’expérimentation et de modélisation. La conduite et les résultats de cette approche et leurs liens avec d’autres approches de quantification des flux de carbone (projets CARBOCONTROLE et AEROCARB) permettront de renforcer l’expertise nécessaire pour évaluer de façon critique les résultats produits dans les négociations internationales, à la fois en terme de chiffrages de stocks et de prédiction d’impacts. Les résultats produits permettront de calculer les potentiels de séquestration des différents pools de carbone (sol ; biomasse, produits) des écosystèmes forestiers nationaux et forêt tropicales industrielles et leur comportement en réponse à différentes options de gestion et au changement climatique. En terme opérationnel, les résultats produits contribueront à la mise en place d’options d’aménagement et de gestion durable permettant d’adapter les écosystèmes forestiers au changement climatique : identification de zones sensibles, remplacement d’espèces, calculs de futur besoins et prélèvements en eau, aire géographique et impacts potentiels de pathogènes forestiers majeurs.
http://www.environnement.gouv.fr/ecologie/7-01-Projet-CARBOFOR-Sequestration.html
La compensation carbone peut elle permettre de lutter contre le réchauffement climatique?
Les projets de compensation carbone de nos émissions de CO2 fleurissent partout dans le monde, de nombreuses initiatives proposent des projets agricoles ou forestiers.
Une synthèse de notre travail sera alors rendue publique.